Langues officielles: allemand, français et italien
Langues nationales: allemand, français, italien et romanche
Groupe majoritaire: allemand (63,7 %)
Groupes minoritaires: français (20,4 %), italien (6,5 %), romanche (0,5 %), autres langues non nationales (9,0 % %) incluant les langues autochtones (franco-provençal, walser, lombard) et les langues immigrantes telles que l'espagnol, le portugais, le turc, le bosniaque, le serbe, le tamoul, etc.
Système politique: république confédérale formée de 26 cantons souverains
http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/Europe/suisse-1Intro.htm
http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/Europe/suisse-1Intro.htm
Répartition des langues

L'allemand
La majorité de la population vit en Suisse alémanique, la partie du pays où l'on parle allemand. On parle allemand dans 17 des 26 cantons.
Le français
Le français
Dans la partie ouest du pays, en Suisse romande, on parle français. Quatre cantons sont uniquement francophones: Genève, Vaud, Neuchâtel et le Jura. Trois cantons sont bilingues (allemand et français): Berne, Fribourg et le Valais.
L'italien
Au Tessin et dans quatre vallées du sud des Grisons, on parle italien.
Le romanche
Le canton des Grisons est trilingue. On y parle allemand, italien et romanche. Le romanche (ou rhéto-roman) est une langue à racines latines. Les Romanches, 0,5 % de la population suisse, forment le plus petit groupe linguistique.
Autres langues
Les nombreux étrangers résidant en Suisse y ont amené leurs propres langues. La pratique de toutes ces langues étrangères dépasse maintenant celle du romanche et de l'italien.
Les langues en Suisse
Allemand 63.7%
Français 20.4%
Italien 6.5%
Romanche 0.5%
Autres 9 %
Source: Office fédéral de la statistique 2002
http://www.swissworld.org/fr/population/langues/repartition_des_langues/
Le français dans la Suisse (La Suisse Romande)

Les dialectes romands ou patois, interdits à l'école dès le XIXe siècle se sont éteints au cours du XXe siècle. Ils sont encore pratiqués localement, notamment en Valais dans la vallée d'Évolène et dans le canton de Fribourg, mais ils ont presque disparu dans l’usage quotidien. Ils proviennent tous du francoprovençal excepté la langue parlée dans le canton du Jura qui est un dialecte d'oïl, le franc-comtois-jurassien. Malgré l'appui institutionnel, le patois étant inscrit dans la constitution jurassienne, le dialecte local ne se développe pas.
Louis Gauchat étudie dès 1899 les patois romands et publie le glossaire des patois de la Suisse romande. Les Suisses romands apprennent le « bon allemand ». S'ils habitent non loin de la frontière linguistique ils apprennent plus facilement le suisse allemand.
Les cantons suisses
http://www.memo.fr/dossier.asp?ID=623
Engagement de la Suisse en Francophonie
La Suisse, en qualité de pays pluriculturel et plurilingue, est membre à part entière de l'Organisation internationale de Ia Francophonie (OIF) depuis son adhésion en 1989 au Sommet des Chefs d'Etat et de gouvernement des pays ayant le français en partage. En 1996, elle a adhéré à l'Agence intergouvernementale de la Francophonie (AIF), l'opérateur principal de l'Organisation. Elle participe aujourd'hui à toutes les instances de la Francophonie (Sommet, Conférence ministérielle, Conseil permanent, Conférences ministérielles spécialisées et permanentes) ainsi qu'aux travaux de tous les opérateurs de la Francophonie (AIF, Agence universitaire, TV5, Association internationale des maires francophones, Université Senghor).
La Suisse est l'un des cinq principaux bailleurs de fonds avec la France, le Canada, la Communauté française de Belgique et le Québec. Les contributions statutaires de la Suisse au budget de l’Agence de la Francophonie s’élèvent à environ 4,4 mio de francs suisses (frs) par année. A celles-ci s’ajoutent les contributions volontaires de près de 2 mio de frs destinées au soutien de divers programmes dans les domaines de la culture, de la communication et de l’appui à l’Etat de droit. La contribution annuelle globale de la Suisse à l'Organisation, y compris TV5 (~CHF 7 mio.), se monte à près de 13,5 mio. de francs suisses.
La Suisse est l'un des cinq principaux bailleurs de fonds avec la France, le Canada, la Communauté française de Belgique et le Québec. Les contributions statutaires de la Suisse au budget de l’Agence de la Francophonie s’élèvent à environ 4,4 mio de francs suisses (frs) par année. A celles-ci s’ajoutent les contributions volontaires de près de 2 mio de frs destinées au soutien de divers programmes dans les domaines de la culture, de la communication et de l’appui à l’Etat de droit. La contribution annuelle globale de la Suisse à l'Organisation, y compris TV5 (~CHF 7 mio.), se monte à près de 13,5 mio. de francs suisses.
Participation de la Suisse aux diverses enceintes de l'Organisation
Avant son adhésion à l’Agence de la Francophonie en 1996, la Suisse participait déjà à diverses conférences sectorielles, ainsi qu’à la CONFEMEN http://www.confemen.org (Conférence des ministres de l’éducation des pays ayant le français en partage), dont elle est membre à part entière depuis 1991. La Conférence suisse des Directeurs cantonaux de l’instruction publique (CDIP, http://www.edk.ch) prend une part active aux travaux de cette dernière.
En février 2001, la Suisse a également adhéré à la CONFEJES (Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports des pays ayant le français en partage, http://confejes.org).
Depuis 1989, l’Assemblée fédérale a une section nationale de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) (http://apf.francophonie.org/). En juillet 2002, l'APF a tenu ses assises annuelles à Berne, du 4 au 10 juillet.
La Suisse a participé en 1984 à la création de la chaîne de télévision TV5 (http://www.TV5.org) qui réunit TF1, France 2, FR3, RTBF et la SSR et à laquelle elle contribue à raison d’environ 7 mio de frs par an.
Les Universités de Suisse romande (http://www.cuso.ch) sont membres de l’AUF (Agence universitaire de la Francophonie) http://universites.francophonie.org. Depuis 1998, la Suisse, par le biais de l’Office fédéral de l’éducation et de la science, contribue également aux activités de cette association.
Les priorités de la Suisse au sein de la Francophonie
Comme elle le fait au sein de toute organisation internationale, la Suisse poursuit au sein de l'Organisation internationale de la Francophonie une politique d'intérêts.
La Suisse est convaincue du grand potentiel dont est porteuse l'Organisation internationale de la Francophonie. Sur la scène internationale, l'OIF peut et doit progressivement s'affirmer comme un acteur qui contribue à la promotion de la démocratie et de l'Etat de droit, ainsi qu'à la promotion de la diversité culturelle. Aux yeux de la Suisse, l'OIF peut encore mieux exploiter son potentiel, par une synergie accrue entre ses opérateurs. A cette fin, la Suisse soutient la mission du Secrétaire général et contribue depuis l'année 2000 au renforcement de son Cabinet, par la mise à disposition d'un Conseiller (actuellement, M. Pierre de Cocatrix). La Suisse a activement participé à l'élaboration du Cadre stratégique, adopté par les Chefs d'Etat et de gouvernement lors du Sommet de Ouagadougou, en novembre 2004. Dans sa contribution présentée lors de la 19ème session de la Conférence ministérielle de la Francophonie, en décembre 2003, elle présente sa vision d'une Organisation plus cohérente et efficace, rassemblée au sein de la "Maison de la Francophonie" qui devrait être inaugurée en 2006 à Paris.
La Suisse souhaite pouvoir mettre en oeuvre de manière accrue dans le cadre de la Francophonie ses principaux instruments de politique étrangère. Elle est aussi intéressée à un renforcement de la collaboration entre l'OIF et la Suisse à Genève, par l'organisation de réunions d'experts sur des thèmes d'intérêt commun. Ainsi, à l'occasion d'une réunion, en février 2004 à Marrakech, des structures gouvernementales chargées des droits de l'Homme dans l'espace francophone, la Suisse a proposé la tenue, à l'occasion des sessions de la Commission des droits de l'Homme des Nations Unies, de concertations francophones à Genève en vue de rapprocher les positions au sein de la Francophonie et de favoriser la réforme de cette Commission.
Une priorité suisse est également le renforcement de la participation suisse à la coopération francophone dans le cadre de l'Agence universitaire de la Francophonie et des réseaux institutionnels francophones. La Section suisse de l'Institut de droit d'expression et d'inspiration françaises a proposé d'accueillir en septembre 2005 en Suisse, à Lausanne, le congrès ordinaire de cet Institut, sur le thème du droit à l'eau.
La Suisse est convaincue du grand potentiel dont est porteuse l'Organisation internationale de la Francophonie. Sur la scène internationale, l'OIF peut et doit progressivement s'affirmer comme un acteur qui contribue à la promotion de la démocratie et de l'Etat de droit, ainsi qu'à la promotion de la diversité culturelle. Aux yeux de la Suisse, l'OIF peut encore mieux exploiter son potentiel, par une synergie accrue entre ses opérateurs. A cette fin, la Suisse soutient la mission du Secrétaire général et contribue depuis l'année 2000 au renforcement de son Cabinet, par la mise à disposition d'un Conseiller (actuellement, M. Pierre de Cocatrix). La Suisse a activement participé à l'élaboration du Cadre stratégique, adopté par les Chefs d'Etat et de gouvernement lors du Sommet de Ouagadougou, en novembre 2004. Dans sa contribution présentée lors de la 19ème session de la Conférence ministérielle de la Francophonie, en décembre 2003, elle présente sa vision d'une Organisation plus cohérente et efficace, rassemblée au sein de la "Maison de la Francophonie" qui devrait être inaugurée en 2006 à Paris.
La Suisse souhaite pouvoir mettre en oeuvre de manière accrue dans le cadre de la Francophonie ses principaux instruments de politique étrangère. Elle est aussi intéressée à un renforcement de la collaboration entre l'OIF et la Suisse à Genève, par l'organisation de réunions d'experts sur des thèmes d'intérêt commun. Ainsi, à l'occasion d'une réunion, en février 2004 à Marrakech, des structures gouvernementales chargées des droits de l'Homme dans l'espace francophone, la Suisse a proposé la tenue, à l'occasion des sessions de la Commission des droits de l'Homme des Nations Unies, de concertations francophones à Genève en vue de rapprocher les positions au sein de la Francophonie et de favoriser la réforme de cette Commission.
Une priorité suisse est également le renforcement de la participation suisse à la coopération francophone dans le cadre de l'Agence universitaire de la Francophonie et des réseaux institutionnels francophones. La Section suisse de l'Institut de droit d'expression et d'inspiration françaises a proposé d'accueillir en septembre 2005 en Suisse, à Lausanne, le congrès ordinaire de cet Institut, sur le thème du droit à l'eau.
expressions de suisse
La «suissitude»: un mythe?
La Suisse se trouve dans une situation tout à fait inhabituelle: elle abrite trois des principales langues européennes et n'a malgré cela pas de langue qui lui soit propre, mis à part le romanche qui n'est en réalité parlé que par 0,6 % de la population.Quelle que soit la langue qu'elles parlent, les différentes communautés suisses ont des liens linguistiques et culturels avec le voisin immédiat le plus important. En effet il est plus facile à un Genevois de parler avec un Parisien qu'avec un Bernois pourtant suisse lui aussi ! De même, il est plus facile à un Tessinois de lire le «Corriere della Sera» milanais que le «Neue Zürcher Zeitung».
Selon leur langue les communautés mangent différemment, ont des coutumes et des traditions toutes autres. Pour tout dire leur histoire commune remonte à à peu près deux cents ans. Avant l'invasion napoléonienne de 1798 certains des cantons régnaient sur d'autres parties de la Suisse. Les habitants de ce qui est aujourd'hui le canton de Vaud, par exemple, étaient des sujets bernois, mais ne jouissaient pas des mêmes droits que les Bernois.Les Suisses eux-mêmes se demandent parfois ce qu'ils peuvent avoir en commun à part leur passeport. Ils ne sauraient définir ce qui fait qu'ils sont Suisses. Les Suisses prétendent que ce qui les maintient ensemble, c'est le simple désir de rester unis. L'attitude générale est résumée par la formule «unité sans uniformité».
Selon leur langue les communautés mangent différemment, ont des coutumes et des traditions toutes autres. Pour tout dire leur histoire commune remonte à à peu près deux cents ans. Avant l'invasion napoléonienne de 1798 certains des cantons régnaient sur d'autres parties de la Suisse. Les habitants de ce qui est aujourd'hui le canton de Vaud, par exemple, étaient des sujets bernois, mais ne jouissaient pas des mêmes droits que les Bernois.Les Suisses eux-mêmes se demandent parfois ce qu'ils peuvent avoir en commun à part leur passeport. Ils ne sauraient définir ce qui fait qu'ils sont Suisses. Les Suisses prétendent que ce qui les maintient ensemble, c'est le simple désir de rester unis. L'attitude générale est résumée par la formule «unité sans uniformité».
Avent et Noël
L'Avent désigne la période de quatre semaines qui précède la veillée de Noël. Pour les Chrétiens, c'est une période de préparation spirituelle à la fête de la Nativité de Jésus.Autrefois, cette période d'attente avant Noël était une occasion pour enseigner aux enfants les vertus de la patience avant une récompense. C'est de là que vient le fameux calendrier de l'Avent, qui contient 24 petites images illustrant le thème de Noël et qui sont dévoilées au rythme d'une image par jour.Les calendriers de l'Avent font partie intégrante de la tradition de Noël en Suisse, de même que les couronnes de l'Avent, décorées de quatre bougies qui sont brûlées à chacun des dimanches précédent Noël.
St-Nicolas
St-Nicolas de Myre est considéré dans la tradition chrétienne comme le saint protecteur des enfants. Il est fêté le 6 décembre. Dans plusieurs cantons, notamment ceux de Suisse centrale et Fribourg en Suisse romande, la date de la St-Nicolas donne lieu à une fête au cours de laquelle on met en scène une visite du personnage aux enfants. Revêtu de l'habit d'un évêque, St-Nicolas est traditionnellement accompagné d'un autre personnage, appelé «Père Fouettard» ou «Schmutzli» en Suisse alémanique. Tandis que St-Nicolas se charge de récompenser les enfants sages par des oranges et des confiseries, il revient au Père Fouettard, couvert d'une tunique noire, d'effrayer les enfants peu obéissants ou turbulents.
Noël
Même si la neige n'est pas présente partout à cette époque, le temps de Noël donne lieu à des manifestations de la tradition auxquelles participent également nombre de non-pratiquants.Grâce à la multiplicité de ses cultures et à la place qu'elle occupe au centre de l'Europe, la Suisse possède un riche répertoire de chants de Noël. Autrefois on racontait aux enfants, spécialement ceux des régions de confession catholique, que les cadeaux de Noël étaient apportés par le petit Jésus. Aujourd'hui, en Suisse comme partout ailleurs, c'est probablement la figure universelle du Père Noël qui a remplacé le petit Jésus dans l'imagination des plus jeunes.
Le chocolat suisse
Le cacao…
Le cacao est un produit d'un grande noblesse. Le cacaoyer trouve des conditions idéales à sa croissance dans la zone tropicale qui s'étend de part et d'autre de l'équateur. Ses fruits, qui poussent directement sur le tronc, sont récoltés deux fois par an ; ils contiennent de 20 à 30 fèves de cacao blanches.
Une fois extraites de leur enveloppe, celles-ci sont entassées, couvertes puis abandonnées au processus de la fermentation qui anéantit leur pouvoir germinatif, tandis qu'apparaissent leurs précurseurs d'arôme. Après séchage, les fèves sont prêtes à être acheminées par bateau. Elles sont achetées par les entreprises de l'industrie de transformation aux Bourses de cacao de Londres et de New York.
Le cacao est un produit d'un grande noblesse. Le cacaoyer trouve des conditions idéales à sa croissance dans la zone tropicale qui s'étend de part et d'autre de l'équateur. Ses fruits, qui poussent directement sur le tronc, sont récoltés deux fois par an ; ils contiennent de 20 à 30 fèves de cacao blanches.
Une fois extraites de leur enveloppe, celles-ci sont entassées, couvertes puis abandonnées au processus de la fermentation qui anéantit leur pouvoir germinatif, tandis qu'apparaissent leurs précurseurs d'arôme. Après séchage, les fèves sont prêtes à être acheminées par bateau. Elles sont achetées par les entreprises de l'industrie de transformation aux Bourses de cacao de Londres et de New York.
..devient chocolat
La production de chocolat repose sur un artisanat fort ancien, celui du confiseur et du chocolatier. Aujourd'hui encore, la production industrielle suit les étapes traditionnelles du travail artisanal d'antan, mais des installations techniques hautement évoluées ont pris le relais à tous les échelons d'exécution.
Si elles permettent de rationaliser la fabrication, elles garantissent surtout un niveau constant de haute qualité. Les fèves de cacao sont la matière première la plus importante pour la fabrication de chocolat. Après un rigoureux contrôle de qualité, le cacao brut est soigneusement nettoyé, torréfié, concassé et moulu. Ainsi naît la pâte de cacao. Celle-ci, mélangée à du sucre et à du beurre de cacao, donne le chocolat noir classique. Si l'on y ajoute du lait condensé ou en poudre, on obtient du chocolat au lait. Le chocolat blanc, lui, ne contient pas de pâte de cacao. Ces trois mélanges sont à la base de toutes les variétés de chocolat. Après malaxage, ces mélanges de base sont broyés puis affinés par "conchage".
On a enfin une pâte de chocolat onctueuse, que l'on tempère pour permettre le moulage en tablettes massives ou, après adjonction de noisettes, amandes, fruits ou de liqueur, en tablettes fourrées et en bien d'autres spécialités.
Petits ou grands mais toujours délicats, tous ces chocolats sont ensuite emballés dans des enveloppes, des boîtes ou des bonbonnières et, pour finir, dans de grands cartons d'expédition avant de rejoindre les entrepôts du commerce de détail ou de partir à l'exportation, dans le monde entier.
Si elles permettent de rationaliser la fabrication, elles garantissent surtout un niveau constant de haute qualité. Les fèves de cacao sont la matière première la plus importante pour la fabrication de chocolat. Après un rigoureux contrôle de qualité, le cacao brut est soigneusement nettoyé, torréfié, concassé et moulu. Ainsi naît la pâte de cacao. Celle-ci, mélangée à du sucre et à du beurre de cacao, donne le chocolat noir classique. Si l'on y ajoute du lait condensé ou en poudre, on obtient du chocolat au lait. Le chocolat blanc, lui, ne contient pas de pâte de cacao. Ces trois mélanges sont à la base de toutes les variétés de chocolat. Après malaxage, ces mélanges de base sont broyés puis affinés par "conchage".
On a enfin une pâte de chocolat onctueuse, que l'on tempère pour permettre le moulage en tablettes massives ou, après adjonction de noisettes, amandes, fruits ou de liqueur, en tablettes fourrées et en bien d'autres spécialités.
Petits ou grands mais toujours délicats, tous ces chocolats sont ensuite emballés dans des enveloppes, des boîtes ou des bonbonnières et, pour finir, dans de grands cartons d'expédition avant de rejoindre les entrepôts du commerce de détail ou de partir à l'exportation, dans le monde entier.
Qualité
Pour reconnaître un chocolat de qualité, il suffit à l'amateur éclairé d'en rompre un morceau: la cassure est nette, franche, sans arête friable. Le nez ne s'y trompe pas non plus : le parfum d'un chocolat fin révèle un bouquet plein, charnu mais jamais envahissant. Sa dégustation, enfin, est révélatrice : un bon chocolat fond "comme du beurre" sur la langue sans l'empâter ni laisser d'impression sablonneuse ou d'arrière-goût. Il est subtil et délicat, d'une saveur harmonieuse, bref, unique en son genre.
ConservationSuivant la recette, le chocolat se garde au minimum 12 mois, le chocolat noir jusqu'à 15. Dans l'idéal, il devrait être conservé à une température située entre 10° et 18°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité. Le chocolat est sain. Il est rare de trouver une telle somme de substances précieuses, nourrissantes et énergétiques, entièrement naturelles de surcroît - protéines, hydrates de carbone, oligo-éléments, sels minéraux et vitamines - sous un volume si faible. Une tablette de chocolat au lait de 100 g a une valeur énergétique de 2300 kilojoules, soit 550 kilocalories. Bref, le chocolat, c'est bon et c'est sain. Mais s'il constitue un appoint à une nourriture équilibrée, il ne saurait la remplacer.
Les confiseurs sont encore très nombreux à confectionner leurs propres produits au chocolat. Ils le font avec beaucoup d'amour et de savoir-faire, contribuant ainsi largement à la réputation du chocolat suisse. En général, ils se procurent la pâte nécessaire sous forme de chocolat de couverture qu'ils achètent à des sociétés spécialisées ou à de grandes fabriques de chocolat.
ConservationSuivant la recette, le chocolat se garde au minimum 12 mois, le chocolat noir jusqu'à 15. Dans l'idéal, il devrait être conservé à une température située entre 10° et 18°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité. Le chocolat est sain. Il est rare de trouver une telle somme de substances précieuses, nourrissantes et énergétiques, entièrement naturelles de surcroît - protéines, hydrates de carbone, oligo-éléments, sels minéraux et vitamines - sous un volume si faible. Une tablette de chocolat au lait de 100 g a une valeur énergétique de 2300 kilojoules, soit 550 kilocalories. Bref, le chocolat, c'est bon et c'est sain. Mais s'il constitue un appoint à une nourriture équilibrée, il ne saurait la remplacer.
Les confiseurs sont encore très nombreux à confectionner leurs propres produits au chocolat. Ils le font avec beaucoup d'amour et de savoir-faire, contribuant ainsi largement à la réputation du chocolat suisse. En général, ils se procurent la pâte nécessaire sous forme de chocolat de couverture qu'ils achètent à des sociétés spécialisées ou à de grandes fabriques de chocolat.
Recette Parfait au Chocolat
200 g de chocolat noir2 1/2 dl de crème4 oeufs 6 cuillerées à soupe de sucre glace
Au bain-marie, faites fondre le chocolat et le sucre glace additionnés de 2 cuillerées à soupe d'eau chaude. Séparez les blancs des jaunes d'oeufs. Tout en fouettant énergiquement le chocolat, ajoutez-y d'abord les jaunes, puis les blancs battus en neige. Laissez refroidir dans le compartiment congélateur du réfrigérateur, incorporez la crème préalablement fouettée et mettez à reposer 2 à 3 heures au réfrigérateur.
200 g de chocolat noir2 1/2 dl de crème4 oeufs 6 cuillerées à soupe de sucre glace
Au bain-marie, faites fondre le chocolat et le sucre glace additionnés de 2 cuillerées à soupe d'eau chaude. Séparez les blancs des jaunes d'oeufs. Tout en fouettant énergiquement le chocolat, ajoutez-y d'abord les jaunes, puis les blancs battus en neige. Laissez refroidir dans le compartiment congélateur du réfrigérateur, incorporez la crème préalablement fouettée et mettez à reposer 2 à 3 heures au réfrigérateur.
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